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samedi 25 janvier 2014

Where's Bob's Hat, Bruxelles & 6 Qui Prends ! (23/01/14)

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Une soirée dans l'antre du Cowboy avec pour objectif de jouer à Bruxelles avec en guise d'apéro et de digestif Where's Bob's Hat et 6 Qui Prends.


Where's Bob's HatOn commence par un vieux Alan R. Moon (1990 tout de même) avec Where's Bob's Hat.
Il s'agit d'un jeu de pli assez classique mais qui offre la possibilité de faire des paris sur les couleurs que l'on possédera le plus à la fin de manche.

J'aime bien ce genre de jeux qui ne sort pourtant pas souvent (dans la lignée de Parade, Stilcheln,...). Le jeu marche très bien à 3 et bien 4, au delà, rien ne va plus. Il y'a en plus à Where's Bob's Hat un plaisir sadique à faire échouer les paris des autres et ça, cela n'a pas de prix ;) A ressortir de temps, surtout qu'il s'explique et se joue très rapidement.

L'avis du CowBoy:
Assez malin, parfois un peu imprévisible (sauf mon échec, longuement annoncé à grand coup de caliméro) mais on s'est bien marré. Une large victoire du Cariboo qui a joué moins flamboyant mais sans aucun doute plus efficacement aussi.


BruxellesDécouverte ensuite de Bruxelles  même si nous avions fait pour certains un début de partie prometteur à Essen.

C'est de la pose d'ouvrier avec 2 plateaux bien distincts.
Un premier avec piste de score et diverses pistes de progression, des cartes disponibles à l'achat et quelques lieux d'actions pour poser nos ouvriers.Rien de bien original au premier abord si ce n'est l'étrange horloge qui désigne les ressources à utiliser pour construire.
Un deuxième plateau offre également des actions mais la zone à utiliser de taille variable est désignée par le premier joueur à l'aide d'une sorte d'équerre. Sur ce dernier des actions mais également des majorités à prendre. Pour finir, on dispose d'un petit plateau individuel sur lequel on va pouvoir valoriser les décomptes qui seront faits en fin de partie et qui marque également la progression de nos constructions.

Mon avis:
On tâtonne un peu au début, les façons de marquer des points étant nombreuses. Le tout s’avère rapidement très fluide. J'axe ma stratégie sur de l'achat de personnages (que je n'arriverais malheureusement jamais à vraiment rentabiliser) tandis que Bruno mise tout sur la construction. Greg mise sur un premier tour bien pourri et Abitbol est trop loin pour que je puisse voir ce qu'il fabrique.
Au final, les constructions rapportent un max de points à Bruno et lui permettent de valoriser un max ses investissements. Très sympa comme partie même si cela est difficile de ne pas offrir des opportunités aux adversaires lors de la pose pour les majorités.

L'avis du CowBoy:
Les dés me désignent premier joueur et la mise en place m'offre une opportunité qui ne se refuse pas. Il n'y a qu'une seule action matériaux sur le plateau art moderne, je serais le seul à en prendre et du coup le seul à pouvoir profiter de la seule (là aussi) case construction. J'entends encore Greg râler contre ce concours de circonstance :)
 J'arrive à me concentrer sur la construction (je construis 5 de mes 6 tuiles avec un multiplicateur X8) malgré une légère concurrence de Teuf, et à rafler pas mal d’œuvres d'art par-ci par-là. Greg a marqué pas mal de points sur le marché de l'art en revendant ses oeuvres à bon prix, Mister Abitbol a quand à lui trusté le plateau art moderne et marqué un max de points en montant sur l'échelle d'influence. Teuf a tenté la collection de personnages mais a trop compté sur nous pour les activer, il ne s'en sera finalement pas beaucoup servi par rapport à ce qu'ils lui ont coûté.
Je l'emporte, à priori bien porté par mes résidences construites sur des emplacements rentables. J'ai su vraiment profiter des actions secondaires qu'elles rapportent, contrairement à Teuf qui a plus cherché à jouer sur les positions. On a quand même remarqué que parfois, un coup de "dépit" d'un adversaire peut mettre à terre le mieux établi des plans, sans que ce soit franchement prévisible et évitable.

6 qui prend
On finit par un 6 qui prends !, ou plutôt un 6 Nimmt ! puisque Bruno a la version allemande. On aurait même pu faire un 6 Takes ! puisque la version anglaise était également présente sur la table. Bref, du gros jeu international;

L'avis de Bruno:
C'est toujours bien marrant mais si c'est parfois bien chaotique. Je loose d'1pt face à Greg malgré une belle dernière manche, j'avais pris pas mal d'avance.



Quelques photos de la soirée :

Bruxelles

Bruxelles et son iconographie

Le calimero de la soirée

Une biere qui passe...

Greg, dans le flou total.

6 qui prends la pose.



Et pour accompagner les jeux:

Paulaner Oktoberfest


L'agrivoise
L'asociale
Double Anti Colonialisme Pale Ale
Pleine Lune Triple


Corsendonk
Agnus Dei

Corsendonk
Pater Double Ale

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vendredi 4 novembre 2011

Québec & 6 qui prend (03/11/11)

1 comments
Première soirée depuis notre retour d'Essen. Au programme, Québec le dernier Ystari (en co-édition avec le Scorpion Masqué) ramené par Teuf dans sa valise.

Nous n'avions pas eu l'opportunité de tester ce jeu lors du salon. Teuf aura pris la boite un peu en aveugle, enfin l’éditeur ne nous était pas totalement inconnu non plus.
Cette soirée sera l'occasion de découvrir ce premier titre signé par le tandem P. Beaudoin et P. Poissant-Marquis.
Après présentation du jeu et explication des règles, nous optons pour la version  intermédiaire (avec les leaders mais sans les cartes événements). Des règles simple et bien écrites qui nous permettrons d'entrer rapidement dans la partie.
Les premiers coups sont un peu flous, le système de scoring en cascade n'étant pas très intuitif, du moins avant de l'avoir expérimenté. Le jeu est essentiellement basé sur des majorités on va donc à tout de rôle poser nos petits cubes en bois sur les différentes zones de construction afin d'en tirer un avantage immédiat et capitaliser sur le décompte qui interviendra à la fin du tour.
Cette fin de tour intervient lorsque plus aucun emplacement de construction n'est disponible ou lorsqu'un joueur n'a plus de cubes à poser.
Le premier décompte m'aura permis de prendre une belle avance (qui s’épuisera assez vite par la suite) en amassant un joli paquet de cubes sur la Citadelle dans l'espoir de les amener le plus loin possible par rebonds successifs.
Ce premier tour nous aura vraiment servi de découverte tant il est difficile d'estimer les forces en présence sur les 5 secteurs décomptés. Par la suite le jeu se révélera plus tendu est intéressant, Bruno et Yohann commenceront à étendre leur zone de contrôle tandis que Greg essaiera d'envoyer un maximum de cubes dans les zones de décompte en prévision de la fin du tour.
A l'issu des quatre tours que comporte le jeu, c'est finalement Bruno bien aidé par ses nombreuses constructions qui coiffera Yohann au poteau arrachant la victoire.

A noter toutefois qu'apres relecture des règles, il semblerait que nous ayons mal décompté les bâtiments. Surestimant les ilots importants. Les scores ne sont donc pas significatifs.

Quelques peu optimistes, nous avions prévu d'enchainer sur 011 qui avait fait bonne impression recemment. Mais au vu de l'heure tardive à l'issu de notre partie de Québec, c'est finalement un 6 Qui Prend qui clôturera notre soirée.


Québec
Il n'y avait pas que des jeux dans les valises
Le Caliméro
6 Qui Prend


Les scores:

QuébecScore6 Qui PrendScore
Cowboy George135
Cariboo50
Mottoth134
Mottoth57
Teuf125
Teuf85
Sleip122
Sleip85
Cariboo117
Cowboy George106


L'avis de Sleip:
    Québec: difficile de se faire un avis définitif sur ce jeu, d'autant que quelques erreurs de règles, découvertes à posteriori, viennent altérer le ressenti. 
    Sur la forme c'est une réussite, le jeu est élégant, très bien édité, l'iconographie claire, le patchwork de couleurs agressives s'estompe avec les tours. Les règles sont simples et bien écrites, il n'y a presque pas besoin d'y revenir en cours de partie. Sur le fond c'est plus nuancé, le jeu est fluide et passé le premier tour on entrevoit assez bien les nombreuses stratégies possibles. L'interaction est bien constante, un peu trop peu être. Outre le manque de lisibilité sur le décompte en cascade (qui disparait peut être avec l’expérience) c'est surtout la dépendance aux actions des autres qui m'a laissé dubitatif. Le fait de devoir se reposer sur les actions des autres joueurs pour mener à bien sa stratégie est intéressant, mais peut être trop prépondérant pour un jeu de ce calibre. 

Et pour accompagner les jeux:

Blanche de Namur
Tempelier
Maredsous
Westmalle double
Corsendok Pater
Trois Pistoles
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